Prieuré de Sainte-Victoire

PRIEURÉ DE SAINTE-VICTOIRE
890m

Prieuré Sainte-Victoire

NB : L'altitude mentionnée ici est approximative.

INFOS

Le Prieuré
Situé sur la montagne Sainte-Victoire, près d'Aix-en-Provence, le Prieuré de Sainte-Victoire est un ensemble de bâtiments religieux construits au XVIIe siècle suivant les souhaits de l'abbé Jean Aubert et de Honoré Lambert. Tombés en ruines au cours des siècles qui suivirent, ils sont entretenus et restaurés depuis 1955 par l'association des Amis de Sainte-Victoire.

Le Porche
L'entrée principale s'effectue par un porche, édifié en 1670 puis tombé en ruines avant d'être restauré en 1991. Il est constitué d'un mur épais dans lequel est pratiquée une haute ouverture voûtée en plein cintre. De chaque côté de l'ouverture, se trouvent deux niches qui abritent les statues de Saint Jean et de Saint Honoré, les saints patrons des fondateurs du Prieuré. Ces statues furent installées en 2007, les anciennes ayant disparu. L'entrée dispose d'un portail en fer forgé, installé en 2016, et un mât contemporain surmonte le porche. Le drapeau provençal est hissé sur ce mât lorsque les Amis de Sainte-Victoire sont présents au Prieuré.

La Chapelle Notre-Dame de Victoire
L'entrée principale donne sur la façade ouest de la Chapelle Notre-Dame de Victoire qui fut terminée en 1661. Cette façade ouest comporte en son centre une porte en plein cintre dont les assises et les claveaux sont en pierre de Bibémus. Cette porte a été équipée en 1863 d'une grille en barreaux de fer forgé. Elle est entourée de deux pilastres supportant un fronton brisé, le tout surmonté d'une niche recevant une statue de la Vierge en bronze. Le reste de la façade, classée à l'inventaire supplémentaire des Monuments Historiques, est bâti en moellons de calcaire prélevés aux alentours. La façade sud de la chapelle comporte trois baies cintrées entourées de pierres de Bibémus. Tous les murs de la chapelle, de 1,50 m d'épaisseur, sont en maçonnerie de moellons joints au mortier de chaux mais les chaînages d'angles et la corniche sous le toit sont en pierre de Bibémus. Le clocher en pierre de Bibémus, daté de 1661 et restauré en 2017, domine la façade nord. A l'intérieur, la chapelle est éclairée par 6 baies cintrées, et elle est surmontée par une alternance d'arcs en pierres taillées et de remplissage en moellons assemblés à la chaux. Le dallage du sol est d'époque, constitué de grandes dalles de pierres taillées. Les embrasures des fenêtres sont réalisées en pierre de Bibémus et, en 2018, les vitraux conçus par Gérard Tessier et réalisés par Massalia Vitrail ont été installés après deux ans de préparation et de travaux. Une Vierge de l'Assomption en bois est située dans le chœur et l'autel en marbre du Tholonet, installé en 1992.

Le Logis du Prieur
La chapelle se prolonge, à l'est, par le logis du prieur, qui est une reconstruction partielle, effectuée en 1974, de l'ancienne sacristie. Sur la façade sud, une porte permet son accès. Il est aujourd'hui utilisé comme local privé par les Amis de Sainte-Victoire.

L'Oratoire et l'Ancien Four à Pain
Adossé à la sacristie et sur la façade sud, à droite de la porte du logis du prieur, se dresse ce qui a pu être, au XVIIe siècle, l'entrée du local réservé aux pèlerins. L'arcade de cette porte qui, seule, subsistait, a été conservée et transformée dans les années 1960 en oratoire avec un petit autel qui sert, à l'occasion, pour des messes en plein air. Quelques années plus tard, le mur qui l'entoure a été agrandi et borde le chemin qui conduit à la Croix de Provence. C'est dans ce mur et du côté opposé à l'oratoire que furent retrouvés les vestiges de l'ancien four à pain, daté de 1670.

Le Balcon du Prieur
Derrière cet oratoire, une petite allée mène au balcon du prieur, construit en 1972, puis surmonté d'une arcade en 2000, tandis que le sol situé devant le balcon fut caladé en 2017. Ce balcon donne sur la petite sortie est du Prieuré.

L'Esplanade
Au centre du Prieuré se situe une large esplanade. Celle-ci n'est pas naturelle et fut réalisée entièrement à la main par apport de matériaux, en 1663. La pente qui existait auparavant fut ainsi comblée en récupérant un énorme volume d'éclats de roches provenant de la réalisation de la Brèche des moines. La surface horizontale ainsi obtenue offrait un accès direct au monastère, aux bâtiments d'accueil et aux divers autres aménagements réalisés par la suite.

L'Amphithéâtre
A l'entrée de l'esplanade, juste après le Porche, se situe une zone enclavée qui a fait l'objet de terrassements importants en 2013 et début 2014, puis de la construction de deux murets en gradins. Cet amphithéâtre moderne fut achevé en mai 2014.

La Citerne
Près du centre de l'esplanade se trouve la citerne, qui recueille l'eau de pluie des toitures depuis le XVIIe siècle. C'est le seul point d'eau du massif. En 2014, la citerne a retrouvé son couronnement en dalles de Bibémus. Elle est ainsi constituée d'un grand fut de 9m de profondeur surmonté par une coupole réalisée par deux encorbellements de couronnes en pierre de Bibémus.

Le Monastère
Sur le côté est de l'esplanade se trouve le monastère, l'ancien lieu de vie des moines, qui fut terminé en 1671 et qui fut restauré et aménagé dans les années 1960, époque à laquelle il ne restait plus que la façade principale et quelques départs de murs. Cette façade, entièrement réalisée en pierres de Bibémus est classée à l'inventaire supplémentaire des Monuments historiques et l'ensemble de cet ancien monastère sert actuellement de refuge.

Le Cloître
Derrière le monastère, à l'est et contre la falaise, se trouve le cloître, un déambulatoire voûté qui permettait aux moines de se rendre de leur bâtiment de vie à la sacristie puis à la chapelle, à l'abri des regards et des intempéries. Construit au XVIIe siècle, puis tombé en ruines, il fut partiellement restauré en 1972 puis complètement reconstruit entre 2016 et 2017.

Les Caves
Sous le monastère se trouve des caves entièrement voûtées par une alternance de pierres en tuf taillé et de remplissage de moellons de calcaire, et divisées en trois parties séparées par des cloisons également en pierres taillées. Elles disposent d'encadrements de portes en pierres taillées, datées du XVIIe siècle, et, au sol, existe encore une calade d'origine, avec une rigole bien marquée pour évacuer les eaux de ruissellement. Les caves furent partiellement déblayées en 1991 puis réhabilitées en 2003. Elles sont utilisées aujourd'hui comme ateliers pour les membres des Amis de Sainte-Victoire.

Le Local Elzéar
Adossé à la falaise à l'est et à la façade sud du monastère, se trouve le local Elzéar, du nom du dernier ermite l'ayant habité jusqu'en 1880. C'est un petit édifice de 6m² environ dont la façade a été réalisée en pierre de Bibémus, comme celle du monastère. Elle comporte à gauche une fenêtre avec appui en saillie et encadrement en relief. À droite, se trouve une porte entourée de bordures en pierres taillées. La date de sa construction est légèrement postérieure à celle du monastère. Ayant a moins souffert que les autres édifices, il a été partiellement reconstruit en 1965. Après diverses utilisations, dont celles de logement pour un visiteur, puis pour des ermites successifs et enfin par des bergers, ce local sert actuellement de remise pour du matériel. En 2017, ce local a subi plusieurs améliorations avec la pose d'une dalle en béton armé et d'un dallage, ainsi que d'une charpente et avec une couverture en bacs acier.

La Fosse
Au sud de l'esplanade se trouve une profonde fosse, réalisée en 1663 et autrefois recouverte par une terrasse. Elle est bordée au nord par le mur de soutènement de l'esplanade, au sud et à l'ouest par les hautes falaises et à l'est par le mur situé au pied du local Elzéar réalisé, lui aussi, à la même époque. La fosse donne accès à l'une des deux grottes situées sous le Prieuré et qui furent le premier projet de construction de la chapelle, rapidement abandonné. Sous le local Elzéar se trouvent les ruines de l'ancienne chapelle dédiée à Saint-Venture dont les premières traces écrites remontent à 1251.

La Brèche des Moines
Au sud de la fosse se trouve la Brèche des moines, qui fut taillée à coups d'explosifs en 1663. Un ancien parapet fut consolidé en 1964 puis détruit et reconstruit en 2008 afin de sécuriser le lieu.

Les Jardins Sud
En contrebas de la brèche se trouvent des replats, aménagés au XVIIe siècle sur cet espace très pentu et caillouteux afin de cultiver de la vigne, des oliviers et des figuiers. Pour atteindre ce jardin, les moines descendaient dans la fosse par un escalier taillé dans le roc jusqu'à hauteur de la première grotte. Ils pouvaient alors traverser la falaise par une échancrure qu'ils ont agrandie et descendaient jusqu'en bas par trois échelles successives. Le mur le plus important de ce jardin fait 4 mètres de haut sur 20 mètres de long.

Le Pré des Moines
Sur le versant nord de la montagne, devant le Prieuré, se trouve un second jardin, nommé le Pré des Moines et qui était utilisé pour la culture des céréales.

Le Mur d'Enceinte
Toujours sur le versant nord, se trouve également un mur d'enceinte qui délimitait la propriété des moines au XVIIe siècle et qui fut restauré entre 2013 et 2014, puis en 2015 lorsque l'extrémité ouest fut détériorée par des indélicats. Celui-ci s'étend du sentier des Venturiers à l'est, jusqu'au Pas du moine à l'ouest, et il est bordé par un large chemin ouvragé.

Image Les Amis de Sainte-Victoire ©


HISTOIRE

1200-1500
En 1251, des écrits attestent de la présence d'une chapelle ou d'un ermitage, dédiée à Sainte-Venture, sur le lieu où se situe actuellement le Prieuré de Sainte-Victoire. Cette chapelle fut construite à une date inconnue, probablement sur l'emplacement d'un ancien temple païen. Elle est à nouveau citée en 1498.

1500-1600
En 1546, des écrits témoignent de rassemblements de pèlerins à la Chapelle Sainte-Venture.

1600-1700
A la moitié du XVIIe siècle, l'abbé Jean Aubert, maître de cérémonie à l'église saint-Sauveur à Aix et qui se rend souvent à la Chapelle Sainte-Venture pour y prier et y méditer en solitaire, souhaite rénover l'édifice qui, faute d'entretien, commence à tomber en ruine. A partir de 1652 et avec l'aide de la Confrérie Sainte-Victoire d'Aix dont il est directeur, il décide d'agrandir et de réunir, en creusant la roche à coups de barre à mine et d'explosif, deux grottes qui se situent sous la Chapelle Sainte-Venture, dans le but de réaliser une chapelle souterraine plus spacieuse. Mais le projet, ambitieux et délicat à mettre en œuvre, est rapidement abandonné, notamment lorsque l'abbé Jean Aubert fait la connaissance de Honoré Lambert, un riche bourgeois aixois. Ce dernier propose de financer la construction d'une nouvelle chapelle.

De 1652 à 1655, des rassemblements à la Chapelle Sainte-Venture sont organisés par le village de Pertuis, situé à 40km au nord d'Aix-en-Provence.

En 1657, Jean Anthoine Reymond, maître maçon, entrepreneur et bâtisseur, débute la construction de la nouvelle chapelle, financée par Honoré Lambert et à la demande de l'abbé Jean Aubert. Elle se termine en 1661 avec l'édification du clocher et de la sacristie, et est consacrée à la Vierge-Marie sous le nom de Notre-Dame-de-Victoire. Toujours avec l'aide financière d'Honoré Lambert, l'abbé Jean Aubert fait construire à partir de 1663 un petit monastère destiné à accueillir des moines qui doivent le seconder dans son travail. C'est aussi à cette époque qu'est construit, entre la chapelle qui vient d'être édifiée et ce monastère, un petit bâtiment comportant, au rez-de-chaussée un lieu d'accueil pour les pèlerins, financé par la confrérie Sainte-Victoire de Pertuis et, au premier étage, un logement pour l'abbé Aubert financé par la communauté de Vauvenargues. Le site est complété par d'autres aménagements qui sont réalisés simultanément en quelques années. En 1662 est construit la citerne puis, en 1663, sont réalisées la Brèche des moines, c'est-à-dire la découpe en forme de créneau de la falaise sud pour faire entrer le soleil sur le site, ainsi que l'esplanade horizontale en comblant la pente qui mène à la fosse avec les débris rocheux provenant du percement de la brèche. Pour assurer la subsistance des moines, Jean Aubert fait compléter ces aménagements, en réalisant deux jardins, l'un au nord sur les pentes de la montagne, l'autre au sud au pied de la falaise. L'ensemble de ces aménagements est clôturé par un mur d'enceinte en pierres sèches.

Au début de l'année 1664, et afin d'aider l'abbé Aubert dans son travail, 4 moines de la congrégation des frères Carmes d'Aix en Provence, de l'ordre de saint Benoît, viennent s'installer dans le monastère qui n'est pas encore terminé. Au cours de cette même année, l'abbé Aubert fait reconstruire l'ancienne petite chapelle Sainte-Venture qui est tombée en ruine. Elle peut ainsi servir d'annexe à la chapelle principale Notre-Dame-de-Victoire et elle prend le nom de Chapelle Sainte-Victoire. En même temps, il fait ajouter en plusieurs endroits des autels de plein air pour dire la messe et des pierres pour les confessions. L'ensemble des constructions entreprises par l'abbé Aubert est terminé cette année-là, à l'exception du monastère. A la fin de l'année, après neuf mois de présence, les 4 moines arrivés en début d'année quittent les lieux. Durant les années qui suivent, quelques ermites viennent les remplacer de façon épisodique.

En 1670 est construit le porche d'entrée du Prieuré et le four à pain.

En 1671, le monastère est achevé et le compte final, qui clôture la collaboration entre Honoré Lambert et les maçons, est rédigé.

Vers les années 1678, un dernier aménagement est réalisé. C'est la construction d'une grande terrasse qui, prolongeant l'esplanade jusqu'à la brèche, permet de recouvrir la fosse.

En 1681, un groupe de 4 moines, de l'ordre des Camaldules, viennent s'installer dans le monastère et vivent cloîtrés selon les règles de leur ordre, assurant néanmoins l'accueil des pèlerins et aidant l'abbé Aubert dans ses tâches. Grâce à la présence de la terrasse qui vient d'être construite pour recouvrir la fosse, ils peuvent se rendre dans le jardin sud, depuis l'arrière du monastère et en passant sous la terrasse, à l'abri des regards.

En 1683, les moines de l'ordre des Camaldules quittent les lieux. Plus aucun moine ne viendra s'installer dans le monastère par la suite.

En 1692, l'abbé Aubert décède.

1700-1800
La présence de quelques ermites qui assurent plus ou moins les services religieux est attestée durant le XVIIIe et se prolonge au XIXe siècle.

A la fin du XVIIIe siècle, durant la période révolutionnaire, les rassemblements à Sainte-Victoire cessent et le site est saccagé. Les rassemblements reprennent rapidement en suivant, toujours à la fin du XVIIIe siècle.

1800-1900
Au XIXe sicèle, la terrasse, qui prolonge l'esplanade et qui fut construire aux alentours de 1678, s'effondre.

Comme au XVIIIe siècle, la présence de quelques ermites qui assurent plus ou moins les services religieux est attestée durant le XIXe siècle. Cependant, Frère Elzéar, le dernier ermite connu, quitte définitivement les lieux du Prieuré de Sainte-Victoire en 1881. En 1886, à l'occasion d'une manifestation sur le site, en présence d'évêques d'Aix, une porte en barreaux d'acier est commandée pour la chapelle. A la fin du XIXe siècle, les rassemblements à Sainte-Victoire cessent suite à l'abandon du site.

1900-2022
En 1954, Henri Imoucha décide de sauvegarder le site qui est à l'abandon. En 1955, l'association des Amis de Sainte-Victoire est créée et, depuis 1956 et jusqu'à nos jours, le site est entretenu et restauré constamment par l'association.

En 1978, la façade principale de la Chapelle Notre-Dame-de-la-Victoire est inscrite aux Monuments historiques.


TOPONYMIE

Le nom originel de la montagne serait Mont Venture. Afin de christianiser les lieux, Venture serait devenu Sainte-Venture, bien que cette sainte soit inconnue dans l'hagiographie officielle, mais fêtée le 24 avril par les pèlerins de Pertuis. Le Mont Venture est aussi appelé, en provençal, Ventùri ou Santo Ventùri.

Le nom venture viendrait du celto-ligure vin-t, ven-t qui signifie montagne associé au suffixe celto-ligure -ur qui donne une notion de grande, haute, importante. Venture serait donc la grande montagne.

Le nom provençal ventùri viendrait de ce mot celto-ligure venture et aurait donc la même signification de grande montagne. Santo Ventùri serait la forme christianiser du nom.

La Chapelle du Prieuré est nommée Chapelle Notre-Dame-de-Victoire. Elle remplace l'ancienne chapelle qui était nommée Chapelle Sainte-Venture.

Le nom de Notre-Dame vient de la Vierge Marie qui est la sainte à laquelle est dédiée la chapelle.

Le nom Sainte-Victoire amène plusieurs théories quant à son origine. Une ancienne hypothèse, aujourd'hui abandonnée, laissait entendre que c'était une référence à la victoire du Romain Caïus Marius sur les Teutons et les Cimbres lors d'une bataille qui se déroula en -102 dans la région de la Provence actuelle, peut-être à Pourrières, au pied du versant est de la Montagne Sainte-Victoire. Une autre hypothèse signalerait que c'est une référence à la bataille de Lépante où, en 1571, les soldats chrétiens l'emportèrent sur les soldats musulmans et attribuèrent cette victoire à la Vierge Marie, victoire qui amena à la fête célébrée par le pape Pie V au nom de Sainte-Marie-de-la-Victoire. Une autre hypothèse serait que c'est une référence au vœu publié par Louis XIII en 1638 où le roi déclare que la Vierge est la protectrice du royaume, ceci en remerciement pour la victoire, en 1636, où les français reprirent la ville de Corbie aux espagnols. Dans tous les cas, ce nom de Sainte-Victoire serait apparu avec la construction de la Chapelle Notre-Dame-de-Victoire.

Il semble probable que le nom Sainte-Victoire soit devenu ensuite, par extension, le nom de la montagne, qui aurait ainsi prit le nom de la chapelle.


SITUATION



METEOTutoriel météo

Météo Prieuré de Sainte-Victoire (meteoblue)

TOPOS

Les topos du Bouquetin Boiteux passant au Prieuré Sainte-Victoire.

Itinéraire Km D+ Altitude max D+/Km Cotation Chiens
Prieuré de Sainte-Victoire, Croix de Provence 12,5 750 946 60 T3 Autorisé/Difficulté


VIDÉO

Une vidéo retraçant l'histoire du Prieuré Sainte-Victoire avec des images animées en 3D permettant de visualiser l'évolution et la construction de l'édifice.



SOURCES

Les Amis de Sainte-Victoire (Site internet)
ASVB 38 - Ah, si le Mont Venturi pouvait parler ! (Geneviève Le Blanc / Pdf)
Acte de naissance... (Amis de Sainte-Victoire / Pdf)
Prieuré de Sainte-Victoire (Base Mérimée)
REA 1899 - Sainte-Victoire (Camille Juillan, Frédéric Mistral / Persée)


Porche du Prieuré

Façade ouest de la Chapelle Sainte-Victoire

Esplanade, Monastère/Refuge, Brèche

Esplanade, Chapelle Sainte-Victoire

Porche depuis l'esplanade

Entrée est

Chemin et mur nord




Commentaires